Kieran O'Callaghan

Invité

Kieran O'Callaghan

Identité

Avatar :: Gaspard Ulliel
Age :: 24 ans.
Groupe :: Ordre des mangemorts.
Maison :: serpentard.
Lieu d'habitation :: Anglesey
Métier :: Pas de vrai métier.
Statut Civil :: Célibataire.
Statut du sang :: Mêlé
Particularité :: Parle couramment le français.
Croyances politique :: Je suis bien ancré dans les idéaux de mon maître, je suis pleinement d'accord avec lui, du moins pour le moment. La politique actuelle me va très bien, j'ai beaucoup de haine pour l'ordre du phénix, je compte bien les voir tous dans les salles de torture de mon camp, pour les autres, ils me font presque rire à croire qu'ils peuvent s'élever contre la puissance des mangemorts, mais enfin, mon intelligence me dit de ne jamais sous-estimer ses adversaires, alors même si je n'ai pas réellement peur d'eux, je me méfie et je reste sur mes gardes.
Caractère :: Je suis pas le genre de personne qu'on aime, je suis même plutôt l'inverse, j'ai un grand sens des responsabilités, en tout cas, quand ça me concerne. J'ai eu l'éducation d'un sang pur, alors je suis froid, impénétrable, mais j'ai aussi mon propre caractère, je suis malin, intelligent, charmeur, narcissique, indépendant, indiscipliné, sadique, roublard, loyal, relativement poli, fidèle quand je le veux bien, sarcastique, intolérant, manipulateur, profiteur. Ce n'est que pour l'aspect que je montre à tous, ensuite avec quelques rares personnes, je peux me montrer tendre, à l'écoute, protecteur et même gentil.
J'ai des hobbies comme tout le monde, le mien c'est les livres et jouer au Quidditch, mon poste de prédilection est batteur, même si je n'ai pas souvent eu l'occasion de jouer à ce poste. Je fais aussi très attention à mon apparence et à mon corps, j'y tiens beaucoup, alors je fais toujours attention à moi, c'est devenu un de mes loisirs, de m'entretenir avec des duels ou en volant et pour mon apparence, rien ne va sans belles robes de sorcier neuve. Pour mes passions, je peux en citer trois grandes, la première est tout ce qui traite de la torture, du sang et de la mort, mais pour elle, je suis servi, la seconde est tout simplement d'aller écouter ce que ce disent les riches sorciers quand ils ont un coup dans le nez, pour pouvoir ensuite les faire chanter en les tenant par un secret pour lequel ils sont prêts à payer très cher pour qu'il le reste, la troisième, eh bien, c'est les femmes, je les collectionne depuis mon adolescence, même si je me suis un peu calmé. J'ai des envies très secrètes, celle de voir mes parents finir dans les cachots de mon maître, convaincre enfin ma sœur que la voie que j'ai choisi est belle et bien la meilleure, mais même si elle ne le fait pas, je serais toujours prêt à la protéger, qu'importe les conséquences auxquelles je me devrais de faire face.

Mes Caractéristiques

Potion :: 5

Esquive :: 5

Maléfice :: 6

Défense :: 5

Enchantement :: 2

Rituel : 8

Invocation : 4

In Real Life

Age :: 21 ans
Sexe :: Masculin.
Où avez-vous connu le forum? :: Par la recherche de staff sur Never Utopia

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Mon Histoire

La grande et belle famille des O'Callaghan :

Très ancienne famille sorcière, des sorciers depuis plus de quarante générations, sans jamais aucun sang-pur, pour la simple et bonne raison qu'ils ont préférés se marier toujours entre sang-mêlés ou né de moldus, voir même moldu, une fois. Avec une moyenne de deux enfants à chaque mariage, alors même que généralement, ce n'était pas du véritable amour pour le membre de la famille O'Callaghan, mais juste un choix de prendre telle ou telle personne pour époux ou épouse, parce qu'elle montrait les qualités recherchés. Entrons dans le vif du sujet de ma famille à moi, je vais vous les présenter.

Deaglan Ryan O'Callaghan : mon père tant aimé, non c'est pas vrai, je le déteste et ceux depuis ma plus tendre enfance. Pour des raisons toutes simples, il ne voulait pas d'un fils, enfin c'est surtout qu'il ne voulait pas d'un fils ressemblant tellement à sa mère, puisque je n'ai presque rien de lui, juste les yeux, ce qui fait vraiment très peu. Ce qui fait que depuis tout petit, il ne peut pas me voir en peinture, il aurait voulu un fils bien irlandais avec les cheveux roux. Je ne le connais pas si bien que ça pour tout dire.

Alexandra O'Callaghan, née Duchêne : Ma mère, une française qui est venue se perdre en Angleterre, tombant sur mon père et finissant enceinte et mariée après deux mois. Le pire, c'est qu'elle l'aime mon paternel. J'ai toujours eu une très bonne relation avec ma mère, c'est elle qui m'a tout appris sur la vie. Elle aussi est de sang-mêlé, mais une toute jeune famille, d'à peine trois générations, avec trois sang-de-boubes. J'aurais bien aimé gardé de bonne relation avec elle, mais tout est cassé depuis mon adolescence.

Amber O'Connor, née O'Callaghan : C'est ma tante, elle a épousé son mari par dépit et je l'aime toujours autant qu'avant, puisqu'elle a rejoint la même cause que moi, tuant son mari au passage comme rite d'entrée dans les mangemorts. Même si elle ne comprend pas tout mes choix, on a de très bonne relation bien que distantes, puisqu'on ne se parle que rarement devant les autres, on ne se voit que lorsqu'elle vient chez moi ou que je vais chez elle.

Duncan O'Connor : Mon cousin, on a cinq ans de différence et simplement des idéaux en communs, mais lui a pris le parti de partir dès la fin de ses études, alors on ne se voit plus du tout. On a jamais été très proche et je pense qu'on ne le sera jamais.

Et la meilleure pour la fin :

Alix Alexandra O'Callaghan : Ma petite sœur, elle a trois ans de moins que moi, c'est une vraie plaie mais je ne peux pas m'empêcher de la protéger et de l'aimer, même si mon père l'adore et qu'elle lui ressemble, elle est bien différente de lui. Je ferais beaucoup de chose pour cette jeune femme, la seule pour qui je bougerais le petit doigt d'ailleurs, mais c'est tout simplement parce qu'elle est tellement différente de moi que l'on s'entend à merveille.

Voici mon histoire:

Dans les belles rues sorcières de Dublin, se promenaient Monsieur et Madame O'Callaghan, jeunes mariés tout le monde les regardait. Ils étaient regardés non pas parce qu'ils avaient une quelconque notoriété, mais bel et bien parce que Madame O'Callaghan n'avait de cesse de poser des questions à son mari, allant du simple comment te sens tu mon chéri au pourquoi il y a trois magasins d'ingrédients de potion côte à côte. C'est ainsi que le soir venu, se déroula la première dispute entre le tout jeune couple, ce qui énerva la plus l'homme, se fut le départ de sa femme, qui décida de rentrer chez ses parents en France pour des vacances. Étant fille unique, elle fut accueilli à bras ouvert. Le couple resta en froid pendant près d'un mois, Alexandra ayant un caractère bien affirmé, c'était ce qui avait plus à son futur époux quand il l'avait rencontré. Après un long mois de séparation, le manque de son mari se fit sentir et elle rentra dans la campagne irlandaise pour retrouver son mari, qu'elle aimait même s'il était un peu dur avec elle vis-à-vis de son comportement encore trop joyeux en public. Ce qu'elle ne savait pas c'était qu'elle rentrait pour se faire accabler de reproche par son mari qui pris en main le fait de lui apprendre comment fonctionnait la famille O'Callaghan et la place que les femmes avaient dans cette famille. La place des femmes était simplistes pour tout dire, elle devait s'occupait des enfants, veiller à ce que l'elfe fasse bien le ménage et à ce que les invités soient bien accueillis, le reste étant dit à la femme avant qu'elle ne décide d'épouser son mari, sauf si elle est bien évidemment fille O'Callaghan. Seulement, même si Alexandra était très amoureuse de son Deaglan, il n'en restait pas moins, qu'elle n'avait jamais voulu se marier à seulement vingt ans, mais le destin avait fait qu'elle attendait un enfant.

Revenons en à moi, arrêtons ce texte narratif, qui fait bien pour résumer la relation de mes parents, mais pas pour ma naissance, c'était mon grand jour... Mes parents étaient tranquillement installés à la table du petit déjeuner quand ma mère commença à avoir comme des crampes au ventre, elle n'y fit pas très attention, étant enceinte de seulement sept mois et demi, ça devait juste être un autre désagrément auquel elle devrait faire face pour un mois et demi. Après son petit déjeuner, ma mère alla rejoindre ma tante Amber chez elle, puisqu'elles avaient le même âge, c'est ensemble qu'elles passaient beaucoup de temps, ma tante n'étant pas encore mariée à cette période, elles se retrouvaient dans le manoir de mon grand-père Ryan Kieran O'Callaghan. Elles ont commencé à disputer calmement une partie d'échec, puis à l'heure du déjeuner, ma tante a invité ma mère à rester manger, voulant tout savoir de la grossesse de cette dernière. Ma tante avait un très grand désir d'enfant, ce qui explique qu'elle voulait tout savoir. Ma mère refusa de déjeuner, assurant à ma tante qu'elle avait de drôle de douleur dans le ventre. C'est bien après le coucher du soleil, qui s'était couché tôt, à 16h30, puisqu'on était en plein mois de décembre, que ma mère s'excusa auprès de ma tante pour aller aux toilettes, croyant avoir une énième envie d'y aller.

Seulement surprise, c'était sa poche des eaux qui venait de se rompre, c'est affolée qu'elle retrouva ma tante, qui elle aussi paniqua, ordonnant à ma mère de monter dans la chambre de mon père et de s'allonger le temps qu'elle appelle de l'aide. La seule aide que reçu ma tante, fut celle de mon grand-père, étant médicomage, il s'occupa de l'accouchement de ma mère, même si c'était contre son éthique, d'aller regarder sous les jupes des membres de la famille. Ainsi, mon grand-père fut la première personne à me toucher, mon père étant aux abonnés absents comme ma tante n'avait pas réussi à le contacter par le réseau de cheminette, étant entraîneur d'une équipe de Quidditch, c'était pas la cheminée qu'il avait le plus souvent à ses côtés. J'ai poussé mon premier cris à vingt heure quarante, le 20 décembre 1974. C'est ma mère qui me choisit mon identité, c'est ainsi que ma mère voulut me nommer, Kieran Deaglan O'Callaghan, mais mon père arriva juste à ce moment-là, d'après ma tante sa première réaction a été de dire que jamais un enfant lui ressemblant si peu ne pourrait porter le même prénom que lui. Je suis ravi qu'il aie dit ces paroles, puisque ma mère le défia et décida que mon nom complet serait Kieran O'Callaghan. À la base, mon nom aurait dû être Aidan, mais ma mère était très reconnaissante envers mon grand père et voulait lui rendre hommage en me donnant son deuxième prénom.

Dès le début, j'ai donné le ton à mes parents, enfin c'est surtout à mon père, je devais sentir qu'il ne m'aimait pas, dès qu'il s'approchait de moi, je me mettais à hurler comme si on allait me tuer. Si bien, qu'au bout d'un mois, seul ma mère s'occupait de moi, pour mon plus grand plaisir. Je ne peux pas vous dire à quel âge j'ai appris à marcher ou à quel âge j'ai eu ma première dent, elle n'y a pas prêté attention, tout ce dont elle se souvient c'est qu'elle a vu arriver avec plaisir mes un an, puisque ce n'est qu'à un an et trois mois que je me suis décidé à dormir la nuit, de minuit à cinq heure du matin. Ma mère ne peut pas vraiment me parler de cette période, elle avait trop de sommeil en retard et devait faire face à la demande constante de mon père qui voulait un autre enfant. À la fin de ma deuxième année dans ce monde, je m'en sortais plutôt pas mal, même si j'allais toujours encore demander le seins à ma mère, qui le faisait de bon cœur la plupart du temps. J'aurais encore continué longtemps, si mon père ne m'avait pas attrapé une fois à deux ans et un mois environ, ce jour-là, il était vraiment de mauvaises humeurs et j'ai eu le droit à une fessée magistrale de sa part. Plus jamais je n'ai touché à ma mère en sa présence, c'est dire comme son comportement m'a marqué alors que je n'avais que deux ans.

Enfin, la meilleure nouvelle que j'ai eu cette année là, c'était l'annonce de la naissance d'un autre enfant, même si j'avais déjà un peu mon mauvais caractère et mon envie d'être remarqué, j'étais heureux de voir arriver un compagnon de jeu avec qui je pourrais jouer. Mon troisième anniversaire arriva et quelques semaines plus tard, ma petite sœur, née en 1978, le 3 janvier, très tôt le matin. Je crois que je n'ai pas réagi quand ma mère m'a dit que j'avais une petite sœur, enfin, je ne peux pas le dire, mes souvenirs sont flous avant mon cinquième anniversaire, je sais juste que c'est entre mon troisième anniversaire et le cinquième que mon père m'a forcé à devenir comme eux tous, aussi froid et distant, je voyais ça très mal à cet âge-là, contrairement à maintenant.

Ce que l'on a bien voulu me dire, c'est que je passais mon temps à attraper des animaux que je les traumatisais jusqu'à ce que mort s'en suive, je m'en souviens pas, mais ça explique bien des choses sur ma vie, il me semble. Dès mes cinq ans, ma mère a commencé à me donner des leçons, comme je parlais couramment le français et l'anglais, elle m'a appris à lire et écrire dans les deux langues, quand elle était avec ses amies, je m'occupais de ma sœur, pas parce qu'on me le demandait, simplement parce que je me suis toujours senti très grand frère avec elle. C'est d'ailleurs elle qui a fait se réveiller mes pouvoirs, mon père venait d'entrer dans sa chambre, je l'avais dans mes bras de petit garçon de cinq ans et il a voulu me la prendre pour la porter, c'était comme si il avait reçu un coup, il a reculé de plusieurs mètres, ma sœur s'était mise à pleurer et moi, j'avais simplement souris à ma mère qui était arrivée paniqué. J'aurais mieux fait de ne pas sourire de mon petit air suffisant, puisque j'ai passé la semaine suivante en compagnie des elfes, étant obligé de les aider dans leur tache, j'y ai découvert que j'aimais bien faire la cuisine.

Après ce jour, mon père ne me laissait plus approcher ma sœur, même ma mère était d'accord avec lui, ils disaient que je risquais de lui faire du mal. Mais entre ce qu'ils décidaient et les choix de ma sœur, il y avait une grande différence, c'est d'ailleurs de cette manière que ma sœur commença à faire des siennes, elle venait exprès chez moi, me réclamait. C'est très rapidement devenu un jeu pour nous de nous retrouver, elle venait chez moi juste pour qu'on se fasse engueuler, mais ma mère finit par la laisser faire, ne sévissant qu'en présence de mon père. À six ans, je n'ai rien fait de bien spécial, sauf peut-être le fait d'avoir mis exprès une souris morte dans une chaussure de mon père pour me venger du fait qu'il était toujours contre moi. En récompense, j'eus le droit à une semaine sans sortir de ma chambre, à peine sortie, j'ai appâté une trentaine de petits rongeurs sauvages avec du pain et je les ai fait entrer dans la maison, par pure vengeance, résultat, je me suis retrouvé à prendre un portoloin avec ma malle pour me rendre en France chez mes grands-parents maternels, qui m'ont accueillis à bras ouvert.

Le seul problème dans cette histoire, c'est que mes grands-parents étaient des gens aisés dans le monde moldu et préféraient de loin la vie moldu, alors ils vivaient sans elfe, avec la techologie moldu et une chose étrange qu'ils appelaient télévision. Comme c'était en plein été, ils vivaient dans leur maison de campagne, qui est sur la côte, près de l'Italie, j'ai donc dû aller me baigner avec eux et j'ai toujours détesté le soleil, ça donne trop chaud et sans sortilège de rafraîchissement c'est vraiment horrible le soleil. J'ai donc passé un mois horrible chez mes grands-parents qui me présentaient leurs amis moldus ou nés de moldus, c'est d'ailleurs à ce moment-là que j'ai commencé à détester les moldus, ils étaient trop différents de ce que je suis et étais. Rentré chez moi, je me suis enfin senti bien, mon père étant beaucoup absent, je pouvais aller chez ma mère tranquillement, jouer avec ma sœur, lire ce que je voulais quand je le voulais.

Je n'ai pas vécu longtemps comme ça, puisque mon père en a décidé autrement, il faisait tout pour m'éloigner de ma mère et ma sœur, alors il m'a envoyé vivre chez mon grand-père Ryan, ma tante étant mariée et vivant chez elle, mon grand-père ayant arrêté de travailler en 1981, il pouvait s'occuper de moi et parfaire mon éducation. Mon père avait prévu un départ de un an pour moi, ce qui m'allait presque à la perfection, j'avais donc pris mes affaires et j'étais allé vivre chez mon grand-père. Le manoir de mon grand-père n'était pas immense, il était sur deux étages et décoré simplement, ayant été veuf à la naissance de ma tante Amber et n'ayant aucun goût pour les meubles et autres choses, tout était très classique, ce qui m'allait très bien. Il m'apprit à voler et me fit lire mes premiers livres traitant de la magie. J'ai appris beaucoup grâce à lui et il ne disait rien quand je rentrais à la maison plein de terre avec des petits animaux bien serrés entre mes mains. Il me montrait même ce qu'on pouvait en faire, je compris rapidement que mon grand-père et moi nous comprenions. Mon père voyant que mon grand-père me supportait plus facilement que lui, m'y laissa jusqu'à mon dixième anniversaire, je rencontrais un très grand nombre de sang-pur et de sang-mêlé ayant des idées bien arrêtés. Un des plus proche ami de mon grand-père avait une fille de mon âge, ils entreprirent de nous apprendre à danser, j'aimais bien cette fille, on se comprenait en un regard, on se parlait, dommage que je l'avais rencontré que trois mois avant mon retour à la maison.

Une fois de retour chez moi, je pus remarqué que ma sœur avait bien grandi, j'en voulais à mon père de m'avoir éloigné si longtemps, surtout qu'il avait interdit toutes communications avec ma mère et ma sœur. Ma sœur avait un chat, une petite boule de poils toute noire qu'elle avait eu pour son septième anniversaire et il ne pouvait pas me voir. C'est vrai que je n'étais que trop fautif de ce fait, il était venu dans ma chambre et m'avait miaulé à côté de l'oreille, c'est ainsi qu'il avait découvert que le mur à la droite de mon lit était solide, j'avais eu mon deuxième gros accident magique et le chat avait du passer plusieurs heures entre les mains de ma mère pour qu'elle le soigne. Ma sœur ne m'en a pas voulu pour ça, elle m'a juste demandé de ne pas recommencer.

C'est une année qui est passé très vite dans mes souvenirs, je devais retrouver une place au sein de cette famille de trois membres, une place que je n'attendais pas venant de mon père, comme je m'y attendais, je n'avais ma place que quand il était absent, c'était comme une règle d'or dans cette maison, personne ne parle à Kieran quand je suis là, personne ne le regarde et personne ne le touche. C'est avec grand plaisir que j'accueillis ma lettre de Poudlard qui arriva en 1986, c'est seul avec une bourse donnée par mon père que je fis mes affaires de classe. Ma mère avait voulu venir avec moi, mais j'avais appris à m'occuper de moi tout seul, mon grand-père et moi nous séparions souvent pour faire les courses quand on allait au chemin de traverse, il m'avait appris à être autonome et à avoir le sens des responsabilités. C'est donc avec pleins de paquets dans les bras que je rentrais chez moi et un bon reste dans ma bourse, je ne fis aucun pas vers ma mère et ma sœur, vu l'heure, mon père était déjà rentré, alors je me contentais de donner ma baguette à ma mère, qui m'avait demandé à la voir. Elle est toute simple, elle est en bois de charme, mesure 24,5 centimètres et contient une plume de phénix, ma mère la regarde longtemps avant de me la rendre en me tendant en plus un petit étui pour la mettre à mon bras. Étant gaucher, je le met à mon bras gauche et j'y range ma baguette, qui ne me quittera plus que la nuit à partir de ce jour.

C'est ma mère seule qui m'accompagna à la gare pour le jour de mon départ, à ma demande, elle me promis de prendre soin de ma sœur et me fit promettre de faire attention à moi et surtout de ne pas trop faire de bêtises. C'est en français que je lui dis les choses les plus personnelles, avant de monter vers un l'inconnu. Durant tout le voyage, je ne parle à personne, je suis dans mes pensées, je cherche dans quel maison je vais être, ma famille étant toujours allé à serdaigle ou poufsouffle, je me refuse ces deux maisons, pourtant une fois devant toute l'école, le choixpeau sur la tête, je suis pris d'une peur du choix de ce chapeau. Quand il crie serpentard, je n'en suis pas plus étonné que cela mais je me sens soulagé, je ne suis pas dans la maison qu'on attendait de moi. Pourtant rapidement j'apprendrais que mon lieu de prédilection dans cette école était la bibliothèque et un vieux cachot caché très loin dans les profondeurs du sous-sol. Durant mes trois premières années, je ne me rapproche de personne, restant loin des autres, ne communiquant qu'avec les professeurs et avec ma mère, ma sœur et mon grand-père par lettres, mais aussi la fille de l'ami à mon grand-père. En quatrième année, je change, je deviens un peu plus ouvert et je vais vers les filles, mais je comprends vite que les petites-amies c'est pas pour moi, trop prise de tête, alors je me rabats sur les filles qui ne veulent rien de sérieux.

Après ma quatrième année, mon père se met en tête de me parler des bonnes manières que doit avoir un jeune homme avec une fille, mais je l'arrête tout de suite en lui disant que les filles, je les prends et je les jette comme de vieilles chaussettes usagées. La cassure est complète avec mon père depuis mon entrée à Poudlard, il ne me regarde plus, cette conversation étaient les premières paroles qu'on échangeait depuis maintenant de très longues années. Je commence à me faire de l'argent cet été là en travaillant pour une boutique dans l'allée des embrumes. Je me renseigne aussi sur la magie noire durant mes pauses et les moments où personne n'est dans la boutique, lisant les livres que je suis censé vendre, prenant des notes sur un parchemin. C'est avec plaisir que je retrouve Poudlard, je retourne dans mon cachot bien caché et je commence à lire les livres que je peux trouver un peu partout et traitant de cette magie qui me passionne, j'ai deux compagnes dans mon cachot, mon amie depuis la première année et sa meilleure amie. Je passe avec de bon résultat mes buses et je suis censé rentrer chez moi pour les vacances, mais à la place, je vais chez mon grand-père, ayant vu ma sœur tout les jours à l'école, on a pu se parler et être ensemble, de toute façon, on aurait pas eu le droit de ce voir à la maison, autant que je ne rentre pas. Je trouve un poste de barman dans un pub de l'allée des embrumes, mon grand-père me demande pourquoi j'ai choisi cet endroit en particulier, c'est tout naturellement que je lui dis que là-bas, il n'y a ni sang-de-bourbe, ni sang-mêlé adorateur des sangs impurs. Durant mon travail, je me découvre une nouvelle passion, celle d'écouter les conversations des clients qui ont bu un verre ou plus de trop et dont les langues se délient, je garde bien en mémoire les paroles de chacun, les retranscrivant sur un parchemin, puis je commence à les faire chanter, contre de l'argent, le pire, c'est que pour les plus aisés c'est un commerce qui fonctionne.

Il ne me dit rien de plus, il me regarde simplement, puis le soir venu, il me trouve avec un livre de magie noire et là, il me raconte sa vie et son histoire, il m'avoue surtout que dans la guerre qui était durant mon enfance, il était mangemort, je lui souris, pas un sourire aimable ou amusé, un sourire un intéressé, je sais que je dois avoir les yeux qui pétillent d'envie d'en savoir plus. Et il m'en apprend plus quand je ne suis pas au travail ou avec une fille, je suis avec mon grand-père qui me parle et me raconte tout ce qui m'intéresse et il n'est pas le dernier pour parler de torture et d'événements sanglants, deux choses qui me fascinent, je n'attends que le jour où je pourrais le faire moi-même. Trop vite, la rentrée arrive, mes deux dernières années se passent comme ma cinquième année, je ne rentre que l'été et je vais chez mon grand-père, travaillant toujours dans le même bar.

En juin 1993, je quitte l'école, je vais vivre chez mon grand-père, mais très rapidement, ce n'est pas juste une vie, il m'apprend l'art de devenir un bon mangemort, il a compris que c'est un homme comme ça que j'aimerais devenir. J'ai repris mon travail au bar avec plaisir, puisque je me fais vraiment beaucoup d'argent en faisant chanter les clients qui reviennent ce qui est encore pire, même si ça semble logique, ils savent qu'avec moi, tant qu'ils payent leur secret sera préservé. C'est en 1995, que tout change, mon grand-père me met dehors en me disant que son travail reprend, il me donne un appartement sur une île du Pays de Galles, Anglesey, je m'y installe mais je dois toujours passer chez lui deux fois par semaine pour qu'il m'apprenne. Seulement, en septembre 1995, il me dit que son maître cherche des mangemorts et je suis tout de suite volontaire, il me le présente après m'avoir fait tuer quelqu'un. Pour mon meurtre, j'ai choisi un jeune homme de mon âge qui a dit clairement au bar qu'il voulait pas que la guerre tourne à l'avantage du Seigneur des Ténèbres et qu'il ferait tout son possible pour aider à sa défaite, il a tout fait en mourant pour nous aider à gagner. C'est en fin septembre que je reçois ma marque, j'en suis très fier, je n'en parle à personne, mais je m'implique beaucoup pour la cause, sans pour autant délaisser mon travail de barman qui m'apporte de temps à autres de bonnes informations.

Durant une attaque en 1996, mon grand-père est tué, mes parents ayant appris son camp refusent de s'occuper des funérailles, je me retrouve donc à les préparer en compagnie de ma tante Amber, c'est là que j'apprends qu'elle aussi est mangemort. On est tout les deux héritiers de mon grand-père, il n'a rien donné à mon père, puisqu'il avait appris part mon père qu'il m'avait déshérité sans pour autant me renier, qu'il léguerait tout à Alix à sa mort. J'aborde l'année 1997, avec haine et le maître prend peu à peu le pouvoir, je me fraye un chemin dans l'organisation, pour ne pas rester au bas de l'échelle, ce n'est pas une place pour moi, je passe déjà assez de temps à supporter les punitions des membres plus haut placé parce que je ne fais pas les choses comme ils veulent, alors je dois monter dans les rangs. J'aime les combats que me permet le début de la tyrannie que mon maître a mis en place, mais je garde les pieds sur terre, la guerre n'est pas fini. Pourtant, je ne suis pas plus prudent pour autant, je continue à faire ce que je veux quand je le veux, je continue à travailler dans le bar, qui peut toujours m'aider à trouver des nouveaux, mais aussi à trouver des informations, ce qui pourrait me faire monter dans les rangs. J'ai bien une chose que je veux absolument, c'est déterrer mes parents de leur cachette et les tuer, puisqu'ils ont interdit à ma sœur de communiquer avec moi, la menaçant de la reniée si elle venait me voir. Elle le fait, mais je sens qu'une part d'elle n'a pas envie de se trouver avec moi, alors j'essaye de la décider à suivre ma voie et celle de notre grand-père.

Tout ce que je veux pour mon futur, c'est de monter dans la hiérarchie de mon organisation et surtout faire gagner une bonne fois pour toute cette guerre à mon camp, en éliminant toutes les autres organisations et en les soumettant.

Niveau I

très belle histoire kieran Smile

juste quelques petites choses, dans les caractéristiques il te manque 5 points.
et si je comprends bien, tu compte aller vers les arts sombres ?

Invité

Merci.

C'est modifié et le compte y est.
Oui, j'ai fini par me décider.

Niveau I

tu veux modifier les images ou tu les laisses tel quelles ?

Invité

Je veux les modifier, je le ferais demain.

Niveau I

ok tu es validé !
Pense à poster ta fiche de liens, ton coffre et à remplir entièrement ton profil.

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